13 heures d’avion, et puis du vert partout.

Nous passons par Air France. Lyon -> Paris puis Paris -> Saint Denis. Au milieu, une correspondance de 5 heures. Pour m’occuper, je prends les avions en photo.

Mag, elle, joue à la console.

Malgré son entrainement acharné aux jeux de course, elle pliera sa voiture en deux, juste à notre retour des vacances !

En parlant de voiture, nous prenons à l’arrivée possession de notre destrier de guerre.

Et nous partons directement vers le cirque de Salazie. La route est magnifique. On prend plein de photos et de vidéos, car on trouve ça fou, il faut en profiter tant que c’est beau. A ce moment, on ne sait pas encore que l’île est belle de partout et qu’en fait cette route n’a vraiment rien d’extraordinaire par rapport au reste.

Nous nous arrêtons en bord de route devant un joli groupement de cascades. Nous le mitraillons de photos et de vidéos. Nous apprendrons plus tard qu’il s’agit du voile de la mariée, une cascade très connue, mais qui est beaucoup plus impressionnante à la saison des pluies.

 

Nous continuons à rouler en nous arrêtant de temps en temps devant de magnifiques paysages.

Nous arrivons au gîte de bonne heure, nous lâchons nos affaires et retournons nous promener en voiture. Etant fatigués par le voyage, on y va doucement, et le cirque de Salazie est plutôt bien pour ça : pas mal de points de vue sympas sont accessibles en voiture et assez rapidement. Si vous n’êtes pas trop branchés randonnées ou bien que vous n’êtes pas en forme, il y a quand même des choses à voir.

Nous dormons à Grand Ilet. Ainsi, nous nous baladons dans les environs, qui offrent plusieurs points de vue sympathiques.

Nous partons ensuite faire une balade en direction d’un truc que nous a conseillé l’hôte : « la fenêtre ». un joli point de vue apparemment. On passe par des endroits intéressants, à commencer par les hauteurs de Grand Ilet.

 

Nous nous enfonçons ensuite dans des champs, pensant que la fameuse fenêtre (une sorte de col, en fait), se trouve au bout.

Mais non en fait, on arrive dans un cul de sac. Peu importe, il fait bientôt nuit, et nous sommes fatigués. C’est l’heure de rentrer !

Nous prenons possession de notre chambre, et pendant que je déballe tout mon matériel photo, Mag se met durement au travail :

Je sors un peu zoner aux alentours du gîte, et là, je rencontre ce chat :

Il a pas l’air super sympa comme ça, mais les apparences sont trompeuses. Il a été recueilli par le maître des lieux alors qu’il s’était fait écraser les pattes arrières par une voiture d’allemands. Il vit maintenant ici, en quémandant des câlins aux clients, en récupérant la nourriture qu’on lui laisse, et en boitant.

Nous mangeons au gîte (notre premier rougail saucisse) et puis nous allons nous coucher de bonne heure : demain, c’est Canyoning !